ARGENTINE/Quequen-Guide touristique

Publié le par voilierdune.over-blog.com

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mars 2011
Seul le rio Quequen sépare le village de Quequen de sa voisine Nécochea, une ville plus importante. Ensembles, ils forment une agglomération qui vit essentiellement de l’activité du port de commerce, l’un des plus importants du pays. La ressource principale de la région réside dans la production de céréales (blé, soja, …) qui s’exportent dans le monde entier, surtout en Chine.


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Activité portuaire à Puerto Quequen : ma passion pour les remorqueurs est comblée

En été, l’ensemble se transforme en station balnéaire puisque des centaines de km de plage sont baignées par les eaux froides de l’Atlantique. Qu’à cela ne tienne, les surfers côtoient les colonies de lobos (loups de mer) et chacun vient en voiture sur la plage qui se transforme en un vaste parking de 4x4.


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Colonie de lobos

Le « campo » (campagne) qui s’étend à perte de vue sur des centaines de kilomètre présenterait une certaine monotonie s’il l’on apercevait ça et là des troupeau de vaches ou de chevaux. Les coutumes ancestrales cohabitent avec les techniques agricoles les récentes et il n’est pas rare de voir un gaucho à cheval faisant paître un petit troupeau de vaches (minimum 50 têtes) à côté de moissonneuses batteuse ultra performantes.


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Campo à perte de vue…

Finalement, en Argentine, tout tourne autour des chevaux et des vaches, les premiers indispensables dans la pratique du sport national argentin, le polo ; les secondes constituant le plat national, l’assado (grillade). Jamais nous n’avons mangé de viande de bœuf si savoureuse et en de tels quantités. Même trop cuite, la viande reste tendre et juteuse, un mystère. Une partie du secret résiderait dans la cuisson lente puisqu’un bon assado cuit durant quelques heures sous une faible couche de braise (bois d’eucalyptus) toujours renouvelée. Un feu est maintenu à part pour la production des braises. La qualité exceptionnelle de la viande fait le reste…

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Un assado qui nourrira 40 personnes après plus de 5 heures de cuisson. Miam, miam, j’ai pris 5 kilos en trois mois !

Publié dans mars 2011

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